Contextualiser

Les documents audiovisuels racontent des histoires passionnantes qui vont bien au-delà de ce que l’on voit ou entend. Memoriav publie des textes, images et enregistrements sonores autour de sources sélectionnées, en collaboration avec des auteurs qui replacent ces documents dans leur contexte de création, de transmission et d’utilisation.
La rubrique Histoire(s) audiovisuelle(s) présente des articles sur la création, la découverte, le sauvetage, la conservation et l’usage des sources visuelles et sonores.
La rubrique Traces de l’histoire du cinéma, rédigée par l’historien du cinéma Roland Cosandey, propose des articles et documents d’accompagnement sur des films sélectionnés, classés en deux catégories : Chronique et Études.

Histoire(s) audiovisuelle(s)

Memoriav préserve les documents audiovisuels pour qu’ils puissent raconter leurs histoires et servir de sources historiques. Il ne suffit pas de les retrouver : il faut aussi les replacer dans leur contexte.
Dans la rubrique Histoires de transmission, découvrez des articles sur la création, la découverte, le sauvetage, la conservation et l’usage des images et sons.

Transmission

Kinder hören Radio.

100 Jahre Radio in der Deutschschweiz

Am 23. August 1924 wurde das erste vom Bundesrat konzessionierte Radioprogramm in der Deutschschweiz gesendet. SRF ermöglicht mit vier Podcasts einen Blick auf die Vergangenheit, Gegenwart und Zukunft des Mediums in Gesprächen mit ehemaligen und aktuellen Radioschaffenden und dem Medienhistoriker und Medienwissenschaftler Edzard Schade.

Fixtelefon auf Karte

Kulturerbe Tonbildschauen. Strategien zur Erhaltung

Tonbildschauen wurden von Bildungs-, Gewerkschaft- und Wirtschaftsinstitutionen bis in die 1990er Jahre zu Schulungs- und Werbezwecken genutzt. Einige dieser Tonbildschauen landeten in Museen oder Archiven, wo sie für die Nachwelt aufbewahrt und nutzbar gemacht werden. Das Format ist heute weniger bekannt als andere audiovisuelle Produktionen, dennoch gehört es zum erhaltenswerten Kulturgut. Im Rahmen seines Engagements für dieses Erbe hat das Museum für Kommunikation ein neues Erhaltungskonzept erarbeitet, das anderen Institutionen als Leitfaden zur Erhaltung ihrer Tonbildschauen dienen kann.

Magnettonband mit der Aufnahme von B.B. Kings Konzert am Jazzfestival Montreux von 1980.

Musik mit Röntgenlicht retten?

Forschende des Paul Scherrer Instituts PSI entwickeln eine Methode, um mit dem speziellen Röntgenlicht der Synchrotron Lichtquelle Schweiz SLS Aufnahmen auf hochwertigen historischen Tonbändern zerstörungsfrei zu digitalisieren – darunter auch Schätze aus dem Archiv des Montreux Jazzfestivals – so zum Beispiel eine seltene Aufnahme des «King of the Blues», B.B. King.

 Traces de l’histoire du cinéma 

Spuren der Filmgeschichte / Cinéma :  l’histoire pour mémoire publie des études inédites et des sources commentées sur le cinéma en Suisse, ainsi que sur la gestion et la conservation des archives.
La rubrique est organisée en deux sections : Chronique et Études.

Chronique

Duvanel et Ramus

Duvanel et Ramuz : L’Année vigneronne (1939-1940)

Qualifié de« grand imagier du champêtre réactionnaire » (Hervé Dumont), salué comme « le pionnier du cinéma romand »(Freddy Buache), Charles-Georges Duvanel (1906-1975) mérite d’échapper aux clichés et de trouver dans l’histoire du cinéma suisse une place qui reflète sa situation de façon plus approfondie et nuancée.

Constant Girel

CONSTANT GIREL, « Ma bonne mère … », 1896

« La pluie continue – c’est insensé ». Envoyé par les établissements Lumière auprès du concessionnaire allemand du Cinématographe (Ludwig Stollwerck), puis de son concessionnaire suisse (François-Henri Lavanchy-Clarke), le jeune Constant Girel – il a 23 ans – tourna au mois de septembre 1896 de nombreuses “vues“ qui enrichirent considérablement les programmes de projection, puis le catalogue de vente de la maison lyonnaise : “tableaux“ urbains – dont un panorama expérimental, ce que nous nommons aujourd’hui travelling -, folklore, paysages, défilés, cérémonies officielles avec l’Empereur d’Allemagne et le Tsar. Avec Lavanchy-Clarke, il filma en quelques jours une partie des vues suisses du catalogue Lumière.

Visages de bronze

À la recherche de «Visages de bronze» (1)

Saviez-vous que le deuxième long métrage que la Confédération envoya officiellement à Cannes, après La dernière chance de L. Lindtberg en 1946, ce fut un documentaire réalisé en 35 mm, cinémascope et couleur, par trois jeunes cinéastes entre 24 et 29 ans et qu’il portait comme titre Visages de bronze ?

Ausschnitt aus einer Denkschrift

Le conte du sourcier

« Actualités » est une rubrique qu’il faut comprendre dans un sens large. L’actualité, l’opportunité, l’occasion, c’est celle du chercheur, cherchant ou au repos, mais au bout du compte ne pouvant guère rien trouver.

Études

Plakat Das weisse Stadion

Une Engadine à l’écran, 1900-1934

On filme en Engadine depuis les débuts du cinéma. C’est ce que raconte un récent documentaire de Felice Zenoni, Glisch, camera ed acziun (2024). Et c’est ce documentaire que nous avons entrepris à notre tour de raconter d’une certaine manière.

Textausschnitt

1897-1900. Le cinématographe en trois volets…

Un long métrage documentaire, une exposition, un programme de festival, une tournée feront bientôt et durablement découvrir des images jamais vues jusqu’ici. Ces manifestation mettront en vedette un personnage singulier, auquel on doit l’introduction du cinéma en Suisse : François-Henri Lavanchy-Clarke (1848-1922), d’abord concessionnaire du Cinématographe Lumière pour notre territoire, puis producteur et itinérant à son propre compte, c’est-à-dire au service du savon Sunlight, dont il était d’abord l’importateur.